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Un tremplin high-tech pour ISSOL avec le CSEM de Neuchâtel

Imaginez… un édifice dont les façades colorées produisent de l’électricité. Vous n’avez plus à imaginer ce bâtiment actif.

Imaginez… un édifice dont les façades colorées produisent de l’électricité. Vous n’avez plus à imaginer ce bâtiment actif. Ce n’est plus du rêve. ISSOL en fait une réalité. Pour la rendre plus performante, elle s’est associée avec le CSME, Centre Suisse d’Electronique et de Microtechnique, un centre de recherche public-privé basé à Neuchâtel.

Depuis une dizaine d’années, ISSOL est au service des architectes pour leur proposer des solutions innovantes qui intègrent le photovoltaïque dans toute construction. BIPV est son mot d’ordre. Entendez Building Integrated Photovoltaics. Ce concept branché à l’énergie de demain -repris par Jeremy Rifkin- est de construire des structures architecturales, pour édifices d’utilité publique et bâtiments à finalité industrielle, qui génèrent de l’électricité tout au long de la journée. Il met en œuvre un triple objectif : le design esthétique d’un bâtiment tourné vers l’avenir, la valorisation de l’image de marque d’une entreprise grâce à son immeuble, la production rentable d’une électricité propre.

Par rapport à la solution courante de panneaux solaires qui sont monnaie courante sur les toits, ISSOL a obtenu des prix et contrats prestigieux en Europe. Elle innove sans cesse. A présent, elle combine de manière attrayante l’impression sur un substrat de verre et la technologie photovoltaïque.

La voici qui proposent des façades actives qui peuvent être colorées, imiter le bois ou le marbre. Elle fabrique des produits verriers équipés de cellules photovoltaïques monocristallines, sur lesquelles est appliquée une sérigraphie à base de nano-encres dont ISSOL a le secret. Si bien que le panneau solaire ressemble, à s’y méprendre, à un parement ornemental. Avec la différence qu’il est devenu énergétiquement actif !

La technologie ISSOL est d’ores et déjà proposée aux bureaux d’architecture comme une réelle alternative aux matériaux de construction classiques. Pour rendre plus performante en offrant des performances qui peuvent être vite rentabilisées, ISSOL a trouvé un allié de grand renom pour ses efforts de recherche et développement : le CSEM ou Centre Suisse d’Electronique et de Microtechnique. Cet établissement de haute technologie, qui se trouve à Neuchâtel, coopère avec les universités et instituts polytechniques les plus prestigieux de la Suisse. Elle a un département de nanotechnologie qui développe depuis plusieurs années des solutions photovoltaïques en couleur.

Le partenariat CSEM-ISSOL vise à améliorer le rendement des panneaux solaires qui s’intègrent de façon harmonieuse dans la conception architecturale pour l’avenir. Le CSEM porte un grand intérêt aux bonnes performances de la solution ISSOL pour des parements actifs de différentes couleurs. Il s’agit d’en améliorer le rendement et la rentabilité, tout en réduisant les coûts de production et d’installation. Déjà, l’investissement pour une façade faite de matériaux à énergie solaire peut être rentabilisé en moins de dix années.

Le dernier projet en date utilisant cette technologie colorée a été réalisé par ISSOL sur le bâtiment « Solsmaragden » du groupe immobilier Union Eiendomen (aux quatre façades photovoltaïques de couleur verte) à Oslo-Drammen en Norvège. Voir : http://solsmaragden.myissol.com

plus d’information sur https://www.csem.ch/